Régionales en Île-de-France

AGIR pour ne plus SUBIR !
Agir pour ne plus subir en Île-de-France
Eric BERLINGEN, tête de liste en Île-de-France.

La crise sanitaire qui a durement frappé notre Nation durant plus d’un an à présent, a permis de montrer les fragilités de notre pays à faire face à cette situation exceptionnelle.

De l’hôpital à l’école en passant par les commerces et les entreprises, l’organisation et le fonctionnement de notre société a été profondément bouleversé.

Le bilan des pertes humaines a été le prix le plus dur à payer mais il s’est également accompagné d'une profonde crise économique laissant sur le carreau de nombreux français, notamment dans les foyers les plus touchés par la précarité. L’école de la République a clairement montré qu’elle n’était pas en capacité à assurer sa mission pédagogique en distanciel.

Même son de cloche du côté des entreprises françaises, de nombreux petits commerçants et indépendants ont dû se résoudre à arrêter leurs activités. Un tiers des petites et moyennes entreprises hexagonales ne disposent toujours pas d'un site web. En période de confinement, cette invisibilité numérique s'est donc payée très cher. L'accompagnement, la formation et l'investissement sur ce secteur est donc une nécessité pour l'avenir et la compétitivité de notre pays.


La Région, qui a pour mission de contribuer au développement économique, social et culturel de la région, a donc un rôle central pour faire face à ces nouveaux défis.
AGIR sur la formation et l'emplois
Formation et emplois

Actuellement, chaque année, environ 100.000 emplois ne sont pas pourvus en Île-de-France tant dans le domaine de la restauration, de l’hôtellerie, du tourisme, de l’informatique que dans le milieu médical.

Ces métiers nécessitent des parcours de formations spécifiques et cette compétence est justement du ressort de la Région.

Voilà pourquoi, nous doublerons les effectifs de formation afin de proposer aux demandeurs d'emploi une formation adaptée à ces emplois non-pourvus.

Face aux événements que nous venons de traverser, nous ferons évidement un focus particulier sur les emplois autour de la digitalisation ou de la santé puisqu'ils sont porteurs d'avenir et un atout certain pour notre compétitivité.

La France ne doit plus être à la traine sur ces domaines. Face à l'évolution permanente des nouvelles technologies, un accompagnement constant entre les formations proposées et le besoin des entreprises sera mis en place.

Nous mettrons ainsi en place des suivis réguliers afin d'établir les plans stratégiques de formation en collaboration avec les entreprises partenaires de la région.

Ainsi, chaque demandeur d’emploi francilien, pourra être accompagné et conseillé dans ses démarches et trouver la formation qualifiante qui lui permettra de trouver rapidement un emploi valorisant.

L’intérêt étant pour nous d'avancer tous dans la même direction pour allier intérêt professionnel et personnel.
AGIR sur les Lycées franciliens
Les lycées

La région est en charge de la gestion des lycées. Avec la crise du COVID-19, la continuité pédagogique en cas de confinement, a été un réel défi.

En effet, en cas d’éloignement temporaire des élèves, il est important de maintenir un lien pédagogique entre les professeurs et les élèves pour entretenir les connaissances et acquérir de nouveaux savoirs.

Si l’informatique a été déployé ces dernières années, les efforts ont clairement été insuffisants. ENT (Espace Numérique de Travail) saturé, lenteurs réseaux récurrentes ont montré les limites capacitaires actuelles et nécessite donc de réels investissements.

Si les lycées sont actuellement équipés informatiquement, les classes de lycées sont encore, elles largement à la traine. La visio, qui aurait pu permettre une continuité pédagogique, n’a, dans la majorité des cas, pas été suivie.

Il est aujourd’hui, vital, d’équiper nos lycées en informatiques comme le sont aujourd’hui certaines universités qui diffusent des conférences à distance et dans les meilleures conditions (son, vidéo HD avec la possibilité de revoir un cours à la demande).

Ne sacrifions plus aucune année scolaire, comme ce fût malheureusement le cas ces deux dernières années et sauvons l’éducation de nos enfants.

En matière d’orientation, nous souhaitons que l’entreprise soit non seulement aux cotés de l’école, avec l’école, mais également dans l’école par l’introduction dans tous les lycées d’un enseignement à l’entreprenariat et l’animation de modules de découverte du monde économique par des professionnels mobilisés.

Les choix d’orientation ne doivent plus être subis mais pleinement choisis par les familles.
AGIR dans les transports
Le coup de pouce malin de la Région sur le transport

Les usagers franciliens qui se rendent à leur travail et prenant les transports en commun, bénéficient d'une prise en charge de 50% de leur Pass Navigo par leurs employeurs. Ce dispositif permet ainsi de favoriser l'utilisation des transports en commun moins polluants pour la planète.

Malheureusement, le parcours en transports publics des utilisateurs s'accompagne souvent de l'utilisation de son propre véhicule faute d’un réseau de bus ou de train allant directement du domicile au lieu de travail. Les franciliens doivent donc très souvent s’acquitter du paiement d'une place de parking à proximité de la gare la plus proche.

Ce coût pèse donc directement sur les usagers puisqu'il n'est pas déductible des impôts, ni pris en charge par les collectivités ou les employeurs.

Nous proposerons que 50% du montant de cet abonnement parking soit pris en charge par les employeurs subventionnés par la Région, au même titre que le Pass navigo.

Ceci est un engagement en faveur du pouvoir d'achat des ménages et pour limiter les gaz à effet de serre dans l'air nuisant directement à l'environnement et à notre santé.

Sécurité dans les transports en commun

Notre priorité se portera sur la sécurité dans les transports en commun. En effet, en quelques années la sécurité s’est considérablement détériorée et le nombre de pickpockets a explosé dans les rames de métros et des RER parisien (+16% depuis 2019). Malgré une baisse de fréquentation des transports en commun en 2019 en raison des mouvements sociaux de fin d’année et, en 2020 et 2021, en raison du protocole sanitaire autour du COVID-19, on a pourtant observé une augmentation des vols et violences (y compris outrages envers les dépositaires de l’autorité publique) dans le réseau métropolitain.

Notre projet sera donc d'assurer les déplacements des franciliens en toute sécurité, de jour comme de nuit, sans craindre d'être harcelés ou volés. Pour cela nous renforcerons davantage le dispositif de surveillance et de sécurité déjà en place avec un investissement tant humain que matériel (investissement et déploiement de nouvelles technologies basé sur la télésurveillance notamment).

Le coup de pousse de la Région pour les familles

Afin d'aider les familles, les plus jeunes et les étudiants pourront également se déplacer gratuitement dans toute l'Île-de-France.

Le financement

Ces investissements seront financés grâce à la lutte contre la fraude dans les transports en commun évaluée, chaque année, à plus de 200 millions d'euros.

AGIR sur le logement
Logement

Parmi les 4 millions de personnes mal logées que compte notre pays, et selon la Fondation Abbé Pierre, 1,2 millions vivent dans la région la plus riche de France, l’Île-de-France.

Valérie Pécresse a, durant son mandat à la tête de la région, réduit les aides apportées à la construction de logements sociaux, les faisant passer de 87 à 37 millions d’euros.

Nous proposons de bâtir 100 000 logements supplémentaires par an afin de permettre aux 150 000 sans-abris de se réinsérer dans les meilleurs conditions en Île-de-France, construits sur les terrains qui appartiennent aujourd'hui tant à l’État qu'à la Région.

A l'heure du COVID-19 et des inégalités manifeste en matière de santé, frappant plus durement les mal-logés que le reste de la société, l’État doit détacher en urgence 1 milliards d'euros chaque années pour relever ce défi.
AGIR sur la santé
Santé

Nous voulons également que notre Région puisse proposer une alternative face aux logiques en place qui tendent à privilégier la rentabilité financière au détriment des usagers, par la concurrence Public/Privé et la suppression des structures hospitalières de proximité.

Pour cela nous proposerons des investissements majeurs, à l’heure du Covid pour l’installation regroupée de professionnels de santé dans des Maisons de Santé afin que celles-ci soient à la portée de tout francilien et à quelques minutes seulement de chez lui.